La mort de William Branham, pasteur Ben Mutombo en parle autrement

0
2669

La flamme allume la mèche sans laisser indifférent d’en parler largement. La question n’est pas de la dernière pluie, elle dessine depuis les lèvres : « Comment William Branham considéré comme le plus grand prophète de Dieu pouvait-il facilement mourir par accident ? »

Les uns empruntent les raccourcis et confirment qu’un homme de Dieu ne mourait de cette manière; tandis que pour les autres, sa mort est si honteuse et laisse une tache noire sur sa qualité d’un vrai prophète.

Voilà qui introduit une série d’articles consacrés à la mort de William Branham avec le pasteur Ben Mutombo.

Si en effet, a déclenché le révérend pasteur Ben Mutombo sa bombe argumentaire, on se refuse d’évoquer ici et maintenant la mort de Jésus-Christ étant la plus honteuse et maudite selon la Bible (maudit soit celui qui sera pendu au bois (Galates 3.13). Sur ce point, l’apôtre Paul a même déclaré que le Seigneur Jésus était devenu une malédiction.

Parlons cependant d’Esaïe et Jean Baptiste dont l’aura n’est pas à démontre jusqu’à nos jours. Estimé comme le plus grand prophète ayant écrit une importante partie de l’ancien testament, Esaïe est mort scié morceau par morceau.

Que dire enfin de Jean Baptiste, celui dont Jésus-Christ a rendu témoignage comme étant le plus grand de tous ceux qui sont nés des femmes jusqu’en ce temps-là ? Ce précurseur de la première Venue du Christ est mort, la tête offerte à une femme pour avoir bien exhibé la danse.

Cependant le constat est sans appel, rien n’a enlevé à ces deux serviteurs la qualité d’être toujours appelés grands prophètes.

Contrairement aux autres prophètes de la Bible excepté Jésus-Christ, William Branham avait, selon le Berger de BRANHAM ÉGLISE de la dix-huitième rue Limete industrielle, annoncé en avance l’âge à laquelle il allait mourir : 56 ans (Voir Le sceaux de pâque du 10 avril 1965 au paragraphe 152).

Plus étonnant encore, l’homme de Kentucky a donné certainement la possibilité ou le moyen par lequel il allait quitter la terre, entre autre l’accident d’automobile (Voir Une Robe d’occasion du 25 novembre 1956 au paragraphe 124).

Fort de ces lumières, l’Apôtre Africain Ben Mutombo ose, avec véhémence, nous faire comprendre que la mort de William Branham doit être comprise et acceptée sans tergiverser d’une manière quelconque.

Si en outre la mort de Jésus Christ, Esaïe et Jean Baptiste n’ont pas empêché ces derniers d’être honorés à juste titre, celle d’Elie de Malachie 4 devrait en fait renforcer notre foi dans le Message de l’heure.

Il faut noter que la mort dont nous parlons ici, est celle définie comme la séparation avec ses frères et non la séparation avec Dieu. L’homme de Dieu a conclu en disant : Branham a dit que si quelqu’un vous disait qu’il était mort, ne le croyez pas (Du baume en Galaad du 18 février 1961 au paragraphe 20).

William Branham est-il Elie immortel ? Pourquoi Branham est-il mort ? Pourquoi le tableau de la mort de Jésus-Christ est-il proche à celui de William Branham ? Voilà les questions qui feront l’essentiel de notre prochain papier toujours avec le pasteur Ben Mutombo.

Avez-vous quelque chose à partager avec les enfants de Dieu au sujet de la mort du prophète ? Vous pouvez nous contactez via WhatsApp au numéro +243828303046.

Par / Jean Claude Cimbombo.