JUNIOR TSHIBASU : BIENTOT LE COURONNEMENT PASTORAL

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Le ciel tendre et bleu de Johannesburg, plaqué des nuages blancs mélangés au lumineux soleil semble généreusement se suspendre sur le toit de Goshen tabernacle. Situé sur 102 st avenue in Kew Johannesburg, submergé dans une inondable joie, le joyau tabernacle au cœur des plusieurs attentes et regards organise la fête de l’ordination pastorale de berger Junior Tshibasu le 19 au 21 octobre 2018. Un monstrueux événement à la hauteur des préoccupations des fidèles et de tous les enfants des Dieu à travers le monde. Les jalons ont été déjà bien et bel posés pour une réussite exceptionnelle de l’événement susdit. Que d’espoirs, que des joies dans une sérénité incommensurable.

 

Qui aurait cru il y a peu d’années seulement que le natif de Kinshasa et son assemblée seraient aujourd’hui au centre d’attraction mondiale. Il est vrai que le révérend Junior Tshibasu est ancré dans la foi et subit la force du destin comme son parcours ne laisse guère présager le doute. Si tôt à l’âge de 12 ans il s’en va avec toute sa famille dans le territoire de Ngandajika dans l’actuelle province de Lomami. Il tombe aux pieds du révérend pasteur Kadiata qui devient son berger pendant une année et se voit juste après au Zoé tabernacle de Mbujimayi chez pasteur Katumbi Beya. Là, celui qui était encore frère Junior reçoit le déclic et devient chantre compositeur. Et dans cette même année, il prend son baptême d’eau alors qu’il n’avait que 14 ans. Comme un oiseau au vol rapide l’actuel berger de Goshen tabernacle Johannesburg rejoint Kinshasa la belle et fréquente Shekinah tabernacle chez révérend Richard Diyoka. En 2006, toujours poussé par l’esprit, il s’envole pour l’Afrique du Sud. Il prie dans l’Assemblée de pasteur Zakola, ou il fera beacoup de succès en musique jusqu’au moment où Dieu l’appela à commencer Goshen tabernacle.

 

Voilà maintenant deux ans sont passés, Goshen tabernacle a grandi bien qu’il ait subit beaucoup des difficultés au commencement. Mais l’important comme le déclare son berger , la main de Dieu fut et est toujours prête à soutenir. La joie y est aujourd’hui palpable sur ses murs. Surtout Goshen est dans la fièvre d’un moment des rêves qui n’est rien autre l’ordination pastorale de son berger.

 

Pour s’y prendre à merveille, l’ordination pastorale du père spirituel de Goshen tabernacle est rendu ci- haut et solidifié par une convention internationale de grande envergure. Le thème de l’indicible fête fait la beauté et la grandeur de la cérémonie.  » The deity of Jesus Christ « . Voilà qui vient clore le débat, doute, et querelle sur la divinité de Jésus Christ que William Branham a pensé être la plus grande révélation de tout le temps. L’objet du choix de cette grande révélation est de retourner l’église à la foi apostolique.

 

La convention 2018 de Goshen tabernacle Johannesburg est au regard de tous ses facteurs, hors normes et pleine des promesses. L’alignement de presque tous les grands orateurs de la galaxie Malachie 4 nous plonge déjà sans ambiguïté dans l’atmosphère paradisiaque. Le pasteur Nunes de l’Angola, Robert Kamte du Cameroun, Lifoko du ciel du Congo Brazzaville, Nathan Epenge de l’Afrique du Sud, Didier Lomama de la France, Gédéon Kasonga Mayamba de la RDC , Alpha Thetika de UK ,Maxuell Bure de Zimbabwe et en tête de l’affiche l’apôtre Junior Tshibasu. Les connaisseurs savent déjà à quoi s’attendre.

Les dépenses colossales, d’énergies surabondantes et les sacrifices aux multiples échéances pour ladite cérémonie n’ont, comme l’a si bien souligné révérend Junior Tshibasu à la plume de Gospelcross, qu’une cible :  » Sauver les âmes perdues , prier pour les malades , bénir et fortifier l’épouse de Seigneur Jésus Christ, en résumé, laisser Dieu se manifester dans sa puissance parmi son peuple. Dans le but de cueillir les fruits de cette fête de l’ordination pastorale, le pasteur Junior Tshibasu, les fidèles de Goshen tabernacle Johannesburg et tous les habitants de la nation arc- en- ciel ne jurent que par la concrétisation de cet événement, dans l’harmonie et gaieté.

© 2018 Gospelcross / Jean Claude Cimbombo