Coronavirus : et si le vaccin venait d’ailleurs

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Crédit photo : www.pexels.com

Le monde est sous l’agitation. Les interrogations sur le lendemain se posent au quotidien. Les médias continuent de nous parler des chiffres ahurissants de cas infectés dans le monde par le virus. Et pendant ce temps, les scientifiques de haut vol cravachent pour trouver un vaccin susceptible d’apporter un espoir aux habitants de la terre. Presque tous les gouvernements mondiaux s’alignent, chacun d’après ses moyens, à protéger ses citoyens et à s’investir dans la recherche scientifique.

En chine, là où tout a commencé, ils pensaient avoir mis la main sur ce virus après avoir enregistré plusieurs cas de guérison. Mais tout récemment, si l’on croit aux médias de l’empire céleste, il y a eu une réapparition des autres porteurs du virus.

Jusque-là, aucun vaccin n’a encore été prouvé curatif. La chloroquine, dont l’expert français Didier Raoult vantait les vertus thérapeutiques après la guérison d’une centaine de patients, semble encore avoir des limites.

Certes, les avancées sont enregistrées. Les essais cliniques sont en train d’être faits un peu partout à travers le monde mais les inquiétudes sont toujours présentes. Hélas! le monde entier perd petit à petit le combat face à cette pandémie.

Faudrait-il attendre encore un peu de temps ?  Et si ce vaccin venait d’ailleurs ?

Certains optimistes croient que comme ce virus serait une pure fabrication humaine, conçu aux États-Unis, logiquement son remède est tout de même trouvable. D’autres par contre soutiennent qu’il est une punition envoyée par Dieu suite aux péchés des hommes.

Arrive-t-il un malheur dans une ville, Sans que l’Éternel en soit l’auteur ? Car le Seigneur, l’Éternel, ne fait rien Sans avoir révélé son secret à ses serviteurs les prophètes.

Plusieurs décennies en arrière, L’Éternel Dieu par la bouche de son prophète William Branham prédisait qu’un tel émoi allait se produire et le moyen pour s’en sortir ne serait nullement dans ce que les hommes penseront.

Eh bien, certains parmi eux ont dit : « Eh bien, alors, si le fléau tombe, nous irons bien à l’hôpital. Si le fléau–si le fléau tombe, savez-vous ce que nous ferons ? Nous irons chercher docteur Jones, il saura comment s’en occuper. » Cela n’avait pas marché. Mais ils étaient intelligents. « Eh bien, si le fléau tombe nous descendrons carrément sous terre, dans une cave, nous fermerons la porte. » Cela ne marchera pas du tout. « Nous resterons dans la maison, nous mettrons un masque sur le visage, et–et nous y mettrons un désinfectant. » Cela n’avait servi à rien. (63-0115 – Accepter la voie à laquelle Dieu a pourvu au temps de la fin § 213)

Lisiblement, aucune mesure préventive peut nous mettre à l’abri de ce cataclysme provoqué par ce Covid19.

« Dieu avait pourvu à une voie. Oui. Et c’était (quoi ?) le sang. Dieu avait pourvu à cela, aussi simple que cela paraissait, prendre le sang d’un agneau et asperger la porte. Mais Dieu avait dit que c’était Sa voie, et Il a honoré́ cela. « Tous ceux qui étaient en dehors du sang moururent, les premiers nés. » (63-0115 – Accepter la voie à laquelle Dieu a pourvu au temps de la fin § 214).

Les croyants avertis savent qu’il existe un vaccin, le Sang de Jésus-Christ. Bien que les scientifiques s’investissent dans une quête fastidieuse du vaccin, l’Epouse se laisse dans la prière pour s’assurer qu’elle a dans son âme le vaccin céleste, le Saint-Esprit. Ce qui guérit le corps et sauve l’âme. N’était-il pas écrit qu’il est l’Eternel qui te guérit de TOUTES TES MALADIES ?

Il se peut que plusieurs croyants soient infectés par ce virus et certains nous quittent. Est-ce la preuve qu’ils n’avaient pas reçu le vaccin ? Loin de là.

« Je suis la résurrection et la vie. Celui qui croit en moi vivra, quand même il serait mort; et quiconque vit et croit en moi ne mourra jamais. Crois-tu cela? » rassurait Jésus. (Jean 11.25-26).

Contrairement aux autres, ces croyants sont partis avec une ferme assurance : « ….Christ sera glorifié dans mon corps avec une pleine assurance, soit par ma vie, soit par ma mort; car Christ est ma vie, et la mort m’est un gain. » (Philippiens 1:20-21).

En somme, tous ces événements présents prouvent et témoignent que le retour du Christ est imminent.

Samuel Matondo